La plateforme fonctionne sur la base du volontariat et son accès est soumis à la signature par chaque étudiant(e) volontaire (EV) d’une charte éthique les responsabilisant et les engageant au strict respect de l’ensemble des mesures sanitaires prises par les autorités publiques.
Sur les risques et bonnes pratiques liés à la lutte contre le COVID-19, avec la possibilité d’un tutorat assuré par les étudiants en sciences de la vie et de la santé (médecine, pharmacologie, biologie, psychologie, etc.) : la formation validée par la coordination de la riposte se fait sous forme de capsules animées par des experts en santé communautaire, en santé publique et des épidémiologistes.
La plateforme tient à la disposition des étudiants du matériel d’information et de sen-sibilisation élaboré par les autorités sanitaires. Ces outils doivent être diffusés et dissé-minés le plus largement possible dans la population à travers Internet et par transmis-sion orale à l’entourage immédiat qui n’y a pas accès.
Selon le profil étudiant ou créer un nouveau groupe. Les groupes initialement constitués sont les suivants :
a Santé : les étudiants en sciences de la santé et de la vie (médecine, pharmacologie, biologie, psychologie, etc.) assurent le tutorat des autres étudiants, contribuent à la vulgarisation de l’information sanitaire fiable et actualisée, et accompagnent les populations se tenant à la disposition des autorités publiques pour contribuer au diagnostic et au soutien de malades potentiels et de leur entourage.
b. Hygiène : les étudiants de niveau avancé en chimie organisent la préparation de solutions hydro-alcooliques afin de prévenir les ruptures de stock.
c.Communication: les étudiants en sciences de l’information et de la communication, en informatique, en sciences de l’éducation et en langues identifient les leaders communautaires, les radios et médias de diffusion, et élaborent les supports de communication dans des formats appropriés et exécutent les plans de communication selon l’évolution de la crise.
d. Religion : les étudiants en sciences des religions (sociologie, anthropologie, islamologie, théologie…) déconstruisent les mauvaises informations religieuses et relaient celles qui facilitent l’adoption des bonnes pratiques de prévention et de lutte contre le COVID-19.
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